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PRESS
Chroniques
5ème album SLEEPING WITH GHOSTS
Rock !ne (janv 2006)
Ce disque est stupéfiant…Leurs sonorités cryptiques arrachées
des égouts new- yorkais remontent le courant. Un retour vers le futur
plein de panache et de noblesse. "Sleeping with ghosts" est criant
de vérité. (D.Stefanos)
Rock'n'folk
(janv 2006)
Menant le train avec la classe rockabilly des grands soirs de bal, M.Basly
compose juste presque tout et balance de grands solos qui filent la chair
de poule jusqu'aux gencives. De "Black Haired Cocktail" plus incisif
que "Blue Orchid" à "Too Drunk To Love You" impassible
et tout le temps là, B.Gonzalez assure la basse…imposant un rythme
spectral roboratif tout du long, Mr Henri n'est pas étranger à
l'affaire. Et puis Elvis, Otis, Alan & Martin Suicide, Johnny & Dorsey
Burnette, Dirtbombs, ILCK3, etc. Ce sont les mêmes qui resurgissent.
(V.Hanon)
Punk Rawk (janv 2006)
Un album époustouflant avec trois ou quatre titres démoniaques,
leur plus personnel, leur tout meilleur à ce jour. Splendide. (P.Fouloux)
Mélodik.com
(janv 2006)
Pochette classique et classieuse…ici c'est le côté obscur…on
nage en eaux troubles parmi tous ceux que les Cramps ont aimés ressortir
de leur tombe (au propre comme au figuré). C'est cryptique à
souhait. Personne ne fait ce qu'ils font, de la façon dont ils le font…
C'est sûr, la musique est à tout le monde, doit être partagée
par le plus grand nombre, mais sorry folks, cet album se mérite. (B.Morlock)
442ème
Rue (janv 2006)
…Les théories
développées ici sont novatrices en ce sens qu'elles réécrivent
une histoire (du rock'n'roll-ndlr) définitivement figée. Alors
oui les Cowboys From Outerspace ont fait un disque de blues, un blues décalé
et transcendé, un blues survolté et amphétamine, un blues
sensuel et explosif. Alors oui les Cowboys From Outerspace ont fait un disque
de country crématoire autant que prosélyte et prégnante.
Jusqu'où nous surprendront-ils dans leurs évidences et leurs
réflexions? Leurs travaux en tout cas, sont toujours aussi passionnants.
Rock Sound
(janv 2006)
Contre tout attente, les
Marseillais pulvérisent leur propre record avec ce
"Sleeping with ghosts" d'anthologie. Le trio phocéen a entrepris
de renouer les liens avec sa famille dans le bayou, au Mississipi, à
Chicago, à Memphis et plus encore. Un tour de popote qui donne des
ailes à "Sleeping with ghosts" qui s'avère être
un des dix meilleurs disques de la discipline des dix dernières années.
Disons-le simplement: on n'est pas loin du chef d' œuvre. (P.F)
Concertandco
(janv 2006)
Les Cowboys From Outerspace
n'ont pas attendu le revival du rock pour faire hurler leurs instruments et
onduler leurs corps. Si la pochette est étonnamment plus sobre (quelle
bande de poseurs), le contenu n'a rien perdu de son énergie et de son
âme. S'il commence e sur les chapeaux de roues, déchaîné
et entraînant, il contient une bonne dose de slows poisseux… En
fait écouter les Cowboys c'est un peu comme avoir l'impression de danser
dans le bar de Twin Peaks, un mélange de sensualité et de perte
de contrôle…comme si la musique et le cadre étaient déformés…
mais on continue à avancer en se dandinant. (Pirlouiiiit)
CHRONIQUE Press « ROCK & FOLK ( En Vedette ) » - Octobre 2001
Cowboys From Outerspace. Trois Marseillais, prétendument venus du Sud de lespace, ruent dans les brancards du rock garage et publient un second album griffonné à même le comptoir et enregistré missiles aux fesses.
Au moment où l Europe sapprête à changer de fraîche, il conviendrait de commencer par modifier d abord le fond de lair. Trois heures plus tard, sur une terrasse de la Plage de lEstaque, les Cowboys From Outerspace commandent une tournée de désaltérants anisés. « La connexion sest faite au bar », argumentent-ils nonchalamment, tandis quon apporte des assiettes de moules-frites et quune cohérence à lhistoire est réclamée en guise daccompagnement.
Cryptique,
Formé en 1996, le trio provient des cendres des Mosquitos, des Needs
et de Urgent. Dès son premier album enregistré un an plus tard
au Kaiser Studio, à Chalon-sur-Saône, le groupe fait preuve dune
intensité quelque peu glauque et dune cohésion spontanément
décalée dans le territoire. Généreux, les Cowboys
écument illico tous les saloons du pays. « Quand un groupe joue,
ce nest pas pour les gens qui le reçoivent mais pour ceux qui
sont venus le voir ». Ils retournent mettre à bas leurs obsessions
en lan 2000. Le résultat sintitule « Choke Full Of
» quon pourrait traduire par Engorgement A Bloc
»
Un peu ce qui est arrivé à Jimi Hendrix. Dans les trois petits
points, on met ce quon veut. « Rockn roll. «
Way-Down South ». Avec odeur cryptique. « Les Cramps, ça
nous plaît. Les Chrome Cranks aussi. Toute la tendance américaine
rocknroll. Speedball Baby. Mick Collins, il est cryptique lui.
On est un groupe de rocknroll qui joue avec une énergie
punk rock. Napalm Death, cest bien. Sauf que leurs morceaux de trente
secondes, ils se ressemblent tous ».
Consanguinité,
Les Cowboys ne revendiquent « aucune ligne de travail. On joue sans
se poser de questions. Salcooliser un peu et se mettre la pression,
on aime bien travailler comme ça ». Le premier album fut enregistré
et mixé en cinq jours. Le second en six et deux parties avec Nicolas
de Kill The Trill, et toujours en compagnie du légendaire Lucas Trouble
( Dionysos, Gutter Kids, Grzzzz, etc) aux manettes. Egalement taulier du label
Nova Express et organiste vampirique, ce dernier a cette fois cosigné
un morceau, « Bloody Bathroom ». « Lucas refaisait sa salle
de bains qui était pourrie. Il sest acheté une nouvelle
maison. Parce que les Cowboys, ça lui rapporte des ronds ( rires).
Je lui avais dit quon réenregistrerait un album chez lui à
condition quil nous écrive une chanson. Cest bien tombé,
il était en plein trip gothique. On a tout à fait à larraché.
Deux jours avant, il navait pas le morceau. Il a griffonné les
paroles pendant la séance denregistrement. Après, il ma
jeté dans la salle en me disant de faire la mélodie et de chanter
la chanson. Cest le premier jet, il ny a pas eu dessai,
rien avant ». Les textes ne leur prennent guère plus de temps.
« Il y a des paroles que jai faites au studio. Parce que ça
me fait chier de les écrire à la maison. On est feignants ici,
hein. Une fois dans le studio, on est obligés, on na plus le
choix. Cest motivant ». Le reste de linstrumentation ne
leur pose visiblement pas beaucoup plus de conscience. « Sur Bloody
Bathroom, Lucas ma demandé de lui faire une partie de basse à
la C Jérôme, cétait le jour de sa mort. A lorigine,
il voulait que ce soit un morceau de rhythmn blues ». Second
quatrième larron du groupe, leur sonorisateur joue également
de la guitare sur « The Preacher » et « Japanese Girl ».
« Sans le vouloir, Olive fait des solos comme ceux de johnny Thunders.
Il joue de dos pour ne pas quon le reguarde, il est timide ».
Autre atout non négligeable : confiés aux bons soins de Caroline
Sury ( Le Dernier Cri ) puis de Marc Druez, les visuels des pochettes affichent
la singulière différence cultivée par Hank Costa ( batterie
), Bazile Gonzales ( basse ) et Michel Basly ( guitare/ chant ). Question
folklore, reste les reprises. « Slow Death » ( Flamingroovies
) sur scène, « Im So Lonely I Could Cry » ( digression
du classique de Hank Williams) collée sur la carte de visite et, pour
Choke Full Of
», celle de « Girl », dans une
version moins synthétique mais tout aussi hypnotique que loriginale
de Suicide. Sous le soleil, la conversation se barre à peu près
sur les collègues des Gasolheads et de quelques autres groupes des
Bouches-du-Rhône. « On ne peut même pas parler de culture
underground, ça sous-entendrait que cest structuré. Contents
de vivre à Marseille, contents dêtre Marseillais. Mais
au delà, contents dêtre ailleurs. Après, cest
comme ça quon aboutit à la consanguinité. Ici,
il y a le soleil et la mer. Cest bien pour y vivre. Maintenant, y travailler,
cest autre chose ». Par Vincent Hanon.
CHRONIQUE Live "Le Pocoloco", Clermont-Ferrand - Les Volcaniques de mars 16 mars 2002 - http://www.concertandco.com/marseille/
Jarrive vers
22 h 45 tout essoufflé, je ne voulais louper pour rien au monde le
concert des excellents Cowboys From Outer Space. Ils sont trois, ils aiment
le cuir et les bananes bien mûres. Leur musique est violemment puissante
ou puissamment violente, choisissez ! Le batteur se démène comme
un psychopathe sur ses peaux. Le bassiste assure en front de scène,
la moue dédaigneuse, une clope perpétuellement vissée
au coin des lèvres : il joue tout le concert avec une saturation énorme
sur sa basse. Le chanteur/guitariste a un accent marseillais sympathique,
il ressemble de loin à Gene Vincent ou au jeune Elvis Presley : pas
de danse 50s, riffs saignants, rythmiques thermonucléaires. Les
Cowboys donnent des fourmis dans les jambes, cest le moins quon
puisse dire ! Leur musique passe du psychobilly au punk en faisant un joli
détour par le rock n roll des années 50 et 60. Une
véritable cure de jouvence administrée de mains de maîtres.
Le public danse en chur avec une guitare fictive dans les mains. En
rappel, un petit « Suspiscious minds » joué seul par le
chanteur. Un petit slow immortalisé par Elvis, ça ne fait pas
de mal, avant de repartir pied au plancher ! Well done boys !
Pierre Andrieu
CHRONIQUE Press « PUNK RAWK » ( Octobre/ Novembre 2001).
COWBOYS FROM OUTERSPACE « Choke Full Of » ( Label Nova Express ).
Droit au but.
Ceux pour qui Marseille est synonyme de soleil, de rap, dO.M. et de
pastis vont en être pour leur compte. Avec les Cowboys, nous découvrons
un autre aspect de la cité phocéenne moins folichon, plus rockn
roll et non sans un certain humour. A Michel, le chanteur-guitariste de dévoiler
ses atouts.
Trois ans séparent les deux albums des Cowboys. On se demande si on
a bien affaire au même groupe tant le canyon entre les deux est coloradesque
. « Ce sont bien les mêmes membres. Le premier a été
enregistré sur une période plus longue et il partait dans plusieurs
directions. Celui-là est plus recentré », affirme Michel.
Le fait marquant du nouvel album, Choke Full Of
est quil sonne
furieusement new-yorkais. On y voit les Cramps, Suicide ( quils reprennent
), Scientists ( les plus new-yorkais des Australiens ), Cheater Slicks, Pussy
Galore, Chrome Cranks ( quils revisitent sur une compile EP ). «
Sur le premier, il y avait des ballades, mais dans le fond, il nétait
pas si éloigné de Choke Full Of
Cest vrai que nous
étions moins précis mais cest notre vision du rockn
roll. On ladapte à notre époque. On na pas envie
de faire dexercice de style à reprendre du Elvis, on fait juste
du rock comme on lentend. Lesprit new-yorkais est le plus proche
du nôtre. Marseille est aussi une grande ville avec un coté urbain,
on a ça en commun avec New York. On y voit plus un parallèle
quune influence, même si cest vrai quon adore Chrome
Cranks. Cest lenvie de jouer du rockn roll électrique,
glauque, déjanté et cryptique. Le coté cryptique en rock
est léquivalent du gothique dans dautres arts. Nous ne
voulons ressembler quà Marseille. Il ny a pas que des rappeurs
ici, il y a nous, les Gasolheads, Kill The Thrill et bien dautres
» Ces derniers mois, on a vu une bien drôle association Nord-Sud
sur les routes, celle des Cowboys et des Havrais de Backsliders qui traitent
le rock différemment mais avec le même objectif que les Phocéens.
« François Lebas est un des guitaristes qui ma marqué.
Il fait aussi partie de la CGT, Chanteur Guitariste de Trio, on invite dailleurs
tous les guitaristes-chanteurs rockn roll de trio à nous
rejoindre. Les Backsliders jouent sur scène, il y a tout ce que jaime
: une ambiance, du charisme et de la personnalité ». Pour tout
vous avouer, deux albums majeurs sont parus en France cette année et
à ce jour, lun deux est celui des Cowboys, voilà, cest
dit ! Par Patrick Tad Foulhoux
CHRONIQUE Live "Machine à Coudre" - Marseille 02 mars 2002 - http://www.concertandco.com/marseille/
...Vient ensuite le
tour des non moins fameux Cowboys From Outerspace avec leur inimitable look.
Basile à la basse imperturbable clope au bec, Mr Henri qui a un je
ne sais quoi de I Pop à la batterie et Michel au chant et aux déhanchements
suggestifs. Du rock n' roll teinté de blues et de garage, avec des
morceaux plus calmes (en apparence) qui me font irrésistiblement penser
à Sloy (il s'agit sans nul doute d'une évolution convergente
et non d'une copie).
Je me régale et j'en oublie d'aller faire un saut au Réveil
comme prévu. (...)
Hum ! +Photo Hum !
"Machine à Coudre" Soirée
de soutien- Marseille 02 mars 2002 |
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CHRONIQUE Live "Poste à Galène" - Marseille 15 novembre 2001 - http://www.concertandco.com/marseille/
Cow-boys from outer space : Le concert des Cow-boys était très bon comme d'habitude, c'est clair que c'est un groupe de scène d'envergure national, le son était excellent, l'interprétation excellente dans la plus pure tradition rock'n'roll....... en fait le seul bémol : comme beaucoup de chanteur de groupe de Marseille, il ne devrais pas parler entre les chansons, ça casse le mythe !
En fait ce soir là
j'était énervé.... non pas que les groupes étaient
mauvais, bien au contraire je crois qu'on avait 3 des meilleurs groupes de
rock de Marseille ce soir là. Ce que je trouve profondément
regrettable c'est l'attitude de Philippe du Poste à Galène qui
offre le champagne à Dagoba parce qu'ils ont fait salle comble, ou
qui amène les petits fours à Cox parce qu'ils ont signé
sur une major et qui se casse avant même que les
cow-boys aient commencé leur set parce que ce soir là il ne
va pas faire "son chiffre"..... il n'y a presque personne..... ce
qui me gonfle c'est de voir que des têtes de metalleux quand je vais
voir Dagoba et de voir que des "garageux" quand je vais voir les
cow-boys. Ca m'énerve de voir une salle vide pour un concert d'un groupe
de Marseille qui a eu trois pages dans des magazines de rock nationaux (Rocksound,
R&F)... de m'entendre dire quand on cherche des dates de concert "Ah
non le rock ça remplit pas les salles, désolé nous on
fait que du reggae ou du ska !". On habite une ville d'un million d'habitants,
on devait être 30 ou 40 jeudi soir au poste à Galène.....le
chanteur des Cow-boys a terminé le concert en disant qu'ils faut continuer
à y croire... moi j'y crois de moins en moins ...
Yann
CHRONIQUE Live "Machine à Coudre" - Marseille 25 avril 2000 - http://www.concertandco.com/marseille/
Nouveau concert organisé
par Le Dépanneur qui cette fois ci s'est débrouillé pour
nous faire venir des Etats Unis (Washington state), OLD TIME RELIJUN. Connaissez
pas ? Moi non plus avant d'y aller et à mon avis il ne devait pas y
avoir beaucoup de gens qui connaissaient avant ce soir. Quand je suis arrivé
la salle était déjà bien pleine et les COWBOYS FROM OUTER
SPACE venaient juste d'attaquer.
Depuis le temps que je voulais les voir ... Ils sont trois : un guitariste
chanteur (banane, chemise colorée ouverte, favoris, rock n' roll attitude),
un bassiste (banane lui aussi, impassible, fumant) et un batteur (Henri, cheveux
un peu longs, excité). Ils font une sorte de garage punk assez classique
mais efficace ; ils ont la pêche sur scène, le chanteur parle
entre les morceaux, a de l'humour et tout. Déjà auteurs d'un
premier album éponyme, ils en préparent actuellement un second.
Après une reprise sur la fin, ils ont fait un dernier morceau Still
Believe je crois dédié à tous les groupes pop et rock
de Marseille !
Hum !
"Machine à Coudre" - Marseille 25 avril 2000
More coming Soon....